Quand le Paradis se trouve en Enfer

Cela faisait trois mois que j'étais arrivé dans cette animalerie, les gardiens m'avaient regardé avec envie avant de me balancer dans la cage avec les autres nekos où je fus la coqueluche de ces derniers. Très protecteurs et solidaires, les autres de sa race m'évitèrent tout viol pendant ses trois mois en restant avec moi. Par exemple, un jour un gardien m'avait sauté dessus en déchirant mon haut, trois de mes amis s'étaient rués sur lui pour l'envoyer bouler à l'autre bout de la pièce puis ils se sont placés autour de moi, en protection; ou encore la fois ou le salaud de gardien m'avait plaqué contre la grille en me demandant de sucer son collègue. Un coup de griffe lui avait éraflé de lui visage et il s'était tordu de douleur, me lâchant par la même occasion. Je m'étais recroquevillai Les tâches ménagères et les coups que nous donnaient nos bourreaux étaient difficiles mais nous nous sommes tous serrer les coudes, dans l'espoir de trouver un maître gentil et généreux, enfin moi je m'en foutais, la seule chose que je voulais c'était que mon maître soit un homme.

Je rejoignis Kazuma qui dormait avec moi cette nuit. Le lendemain j'avais une journée dure, je devais m'occuper du long couloir qui menait de la "cage" au bureau du directeur de l'animalerie. Je prenais le seau et la serpillère et commençais mon calvaire de la matinée. Ayant finis mon coin j'allais un peu plus loin dans le couloir et ainsi de suite jusqu'à ce que je remarquais que je n'entendait ni ne voyait de neko dans le coin. je tressaillis, où étaient mes amis ? Pourquoi je ne les voyais plus ? je me redressai puis j'entendis une cloche qui me fit paniqué : c'était la cloche qui indiqué la fermeture de la grille pour le midi. Je démarrai au quart de tour vers cette grille qui était loin, très loin. Ma panique me donnait des ailes, j'avançai vers cette grille qui était encore loin. Je dérapai sur le carrelage et voyait enfin cette barrière se refermait doucement. Je mettais mes dernières forces pour me jeter sur ce passage à mon abri pour l'heure du midi mais malheureusement un pied vint me faire trébucher et je contemplai mon dernier espoir de garder mon cul se refermer complètement. J'entendais mes camarades hurler mon prénom, les yeux horrifiés, tendant les bras vers moi alors qui mes yeux s'écarquillaient d'horreur. Je commençais à trembler en entendant la voix grave d'un des gardiens dire "Enfin en tête à tête" avant de me prendre une poignée de cheveux, me tirer vers le haut et présenter son appendice génital à ma bouche. Refusant de le sucer il me fila une baffe, puis deux devant mes compagnons qui hurlaient leur indignation en vociférant qu'ils lui feraient la peau si le salaud continuait ainsi. Le gardien leur ria au nez avant de me plaquer contre le mur pour me lécher le coup. Il me força a écarter les jambes puis il déchira mon bas avant de plaquer son sexe contre mon intimité. Je fermais les yeux rapidement, attendant une douleur brulante mais j'entendis une voix rauque à la place...

Les rayons du soleil commencent à poindre par-delà les rideaux, venant embêter, taquiner un jeune homme encore ensommeillé, endormie dans les bras de Morphée. Doucement il s’éveille, s’étire, avant de butter dans une chose informe, emmitouflé sous un drap. Il soupire et se lève, avant de regarder l’homme qui lui à servit de coup d’un soir. Doucement il se glisse dans la cuisine, dénudé mais sans complexe, après tout il est chez lui. Il appuie sur la cafetière, met de l’eau et du café moulu, pure arabica celui la, exaltant une odeur de douce graines de café broyées. D’un pas lent il se dirige vers la télé et l’allume sur la chaine info science, mais il repart, totalement désintéressé du programme du moment. Il traverse le couloir et jette un coup d’œil dans sa chambre, son partenaire d’une nuit dort toujours. Il reprend sa marche et s’arrête devant la salle de bain, ouvrir la porte et entrer dans la pièce, d’un pas simple et confient il entre dans la cabine de douche et ouvre l’eau tiède, elle roule, glisse sur sa peau d’albâtre, il saisit le gèle douche et s’en parsème le corps, ne pas oublier un seul coin de sa peau est une règle essentiel chez le jeune homme. Doucement il se rince et sort de l’habitacle, passe une serviette autour de sa taille, sèche ses cheveux et repart dans le salon, la il s’arrête quelques minutes devant la télé et fronce les sourcils, puis comme pour chasser cet mauvaise ambiance il repart dans la cuisine et se sert un mug de café avant de relâcher un soupir puis de sortir une seconde tasse pour aussi version la boisson fumante dedans, deux sucres dans chacun et il part vers sa chambre ou le corps maintenant dénudé de son partenaire lui offre une vu imprenable sur TOUTES les parties intéressante. Il avance et se baisse pour embrasser le beau au bois dormant, ce dernier s’éveille et lui sourit, il lui temps la tasse fumante avant de boire la sienne d’une traite, de la posé par terre puis de se tourner pour sortir, un jean déchirer, délaver, un caleçon et une chemise. Il tombe la serviette, offrant une vue superbe sur sa chute de rein et son postérieur musclé, puis passe le boxer et le jean avant d’ouvrir la chemise sans la refermer, il n’a même pas pris l’idée de fermer son jean, non c’était trop dur.

Il délaisse son aman d’un soir et repart dans le salon pour s’assoir sur le canapé et regarder la télévision. Malheureusement il est déranger par cet homme d’une nuit ce dernier li donne son numéro et l’embrasse avant de partir sans qu’il puisse lui répondre, mais notre homme n’en à rien a faire, il chiffonne le papier et le jette sur la petite table, malencontreusement le papier arrive devant la photo qu’il affectionne tant : on peu le voir lui un sourire en coin entrain de « serrer » dans ses bras un autre homme aux appendices de félin. Mana, Ah Mana ce que tu peux lui manquer, mais serais tu fières de lui en voyant ce qu’il est devenu ? Que voudrais-tu ? Qu’il refasse sa vie ? Doucement comme si il avait deviné, le jeune homme se lève et ferme son pantalon, il met ses baskets et passe le pas de la porte avant de fermer à clef.

Il descend les escaliers de son immeuble et avance dans les rues coloré et sombre de la ville, puis il arrive dans cet aller border de magasins multicolores. Doucement et avec l’envie de faire demie tour, le jeune homme avance dans l’avenue daller et regarde les différents magasins : Vêtement, décoration, gadget, Hybrides. Doucement comme tiltant aux mots inscrit sur l’enseigne du magasin il s’arrête devant les portes et inspire profondément, Pousser le porte et entré dans ce magasin bordé de cage en tout genre. Il eu à peine le temps de faire un pas qu’il se retrouve alpagué par un vendeur. Doucement il détaille l’homme : Sourire commercial, costard, bref rien de bien intéressant.

Doucement le vendeur lui fait faire le tour des articles, mais aucun, non aucun ne lui plait aucun n’est digne de ses caprice de gosse de riche. Doucement alors qu’il écoute le vendeur avec un certain je-m’en-foutisme il entend des crient et des paroles, curieux il se défait du monologue de son interlocuteur et ce rend vers la source de se vacarme. La scène le déroute quelque peu, mais le Neko lui attire tout son attention : l’air assez soumis, mignon en mauvaise posture le pauvre petit : plaquer contre un mur a moitié nu alors qu’un des gardiens joue de son Sexe contre celui du Neko en lui léchant le cou. Doucement Katsuya Soupire et regarde quelques instants la scène qui s’offre a ses yeux. Ce Neko l’attire, réveil son envie, son envie de jouer les gosses de riche et de faire un caprice.

Doucement, avec nonchalance, le jeune homme avance et pose une main sur l’épaule du Gardien avant qu’il ne commette l’irréparable. Puis d’un ton simple, d’une voix dure il dit au gardien avant de croisé son regard pourpre dans celui pervers de l’homme :

« -Allons monsieur vous ne comptez pas abimer mon nouveau jouet ?
- Ton nouveau jouet? Mais pour qui tu te prends toi?
-Mais pour son nouveau maitre tout simplement, cela vous déplait il ?
-Espèce de…
-Sale gosse de riche capricieux ? Ca je le sais déjà nous ne m’apprenais rien et pour le moment mon caprice ses jeter sur se neko là. Donc vendez le moi.
-TSS il vaut cher, si ne t’as pas l’argent passe ton chemin. »

Sans chercher sans trop savoir le Gardien lâcha le Néko et lui balança a la figure un pantalon en grommelant que sa fera partit du prix. Doucement Katsuya réprima un soupire et regarda le neko avec une lueur lubrique dans les yeux. Avant de tout simplement partir vers le comptoir attendant les papiers de l’hybride ainsi que tout ce qui lui serais nécessaire ; Une fois le jeune homme aux oreilles de chats habiller correctement il lui fit signe de le rejoindre et planta son regard dans le sien :

« Ecoute je vais pas y aller par quatre chemin et je ne veux pas lire la fiche technique sur ta cage donc dit moi : Ton prénom et ton nom, plus ton âge et comment t’as atterri la ? »

"-Allons monsieur vous ne comptez pas abimer mon nouveau jouet ?"

Hein ? Que se passait t-il ? Qui était le nouveau jouet de qui ? Mais avant d'approfondir la question, le gardien qui me retenait prisonnier répondit à l'étranger que je ne voyais toujours pas :

"- Ton nouveau jouet? Mais pour qui tu te prends toi?"

Bonne question du gardien , Et puis de qui il parlait ? Qui allait être son nouveau jouet, on est dans un animalerie ici .... Non ne me dîtes pas qu'il compte m'avoir comme nouveau jouet !

"-Mais pour son nouveau maitre tout simplement, cela vous déplait il ?"

La confirmation de ma suggestion me surpris plus que je l'imaginais, j'allais avoir un nouveau maître, j'espérais que celui là serais doux, patient et surtout très aimant.

"-Espèce de…
-Sale gosse de riche capricieux ? Ca je le sais déjà vous ne m’apprenez rien et pour le moment mon caprice s'est jeté sur ce neko là. Donc vendez le moi.
-TSS il vaut cher, si ne t’as pas l’argent passe ton chemin."

Mon nouveau maître avait de la répartie, et voir le gardien ne sachant pas quoi répondre m'amusa un peu, il me relâcha et me balança un pantalon en grommelant que cela serait sur la note, je pris le pantalon et l'enfila. N'osant pas relever les yeux, j'attendais patiemment qu'un geste ou une parole coupe ce silence pensant, jusqu'à ce que la même voix rauque retentisse mais froide et cassante cette fis-ci :

"-Ecoute je vais pas y aller par quatre chemin et je ne veux pas lire la fiche technique sur ta cage donc dit moi : Ton prénom et ton nom, plus ton âge et comment t’as atterri la ?

- Ak... Aki... Akito Tokage ! J'ai 16 ans et demi et je suis là parce que mon ancienne maîtresse est morte."

J'avais dit ça d'une traite en remontant doucement la tête et c'est là que je la vis, cette chevelure argentée entourant un visage au nez fin, et ces deux orbes rouges, perçantes. J'avais l'impression qu'ils me transperçaient, voyant à l'intérieur de moi mais c'est cette chevelure qui me marquait le plus, elle renforçait l'idée q'un ange déchu se trouvait en face de moi. Tellement subjugué, je ne remarquai même pas l'arrivée du directeur et du gardien.

- Ak... Aki... Akito Tokage ! J'ai 16 ans et demi et je suis là parce que mon ancienne maîtresse est morte."

Génial un timide, bon au moins il connaissait son nom, son prénom et tout le tralala. Puis bon une fois la tête relevé on ne pouvait pas dire que le neko n’était pas mignon loin de la, Brun, les appendices noirs, pas très grand, n’y même musclé, mais bon à quoi s’attendait il, il ne retrouverait pas une réplique parfaite de Mana et Akito n’a pas encore finit de grandir se qui est tout de même un avantage.

Un silence de plomb c’était abattu sur les deux hommes on pouvait même entendre les bruits de pas de se gardien bedonnant, mais il n’était pas seul !! Non monsieur était surement allé se plaindre à Monsieur le Directeur comme quoi un client capricieux ne lui laissait pas le plaisir de faire le travail qu’il incombait. Katsuya lâcha un soupir et se retourna et aborda une mine embêté à la vu du directeur qui lui avait malheureusement les sourcils froncé au possible. C’est tout de même avec un ton distingué qu’il s’adressa au jeune scientifique :

-Monsieur, je dois vous avouer ma surprise ! Jamais un de mes employés n’a été dérangé de la sorte dans son travail.
-Si vous insinuait que violer un Neko de 16 ans est un boulot…
-Le gardien ici présent affirme qu’il corrigeait le garçon pour son retard !!
-Si vous le dite, en attendant j’aimerais bien aller a la caisse pour payer la Bestiole et m’en aller de se…Refuge ? Le plus vite possible.
-Mais qui êtes-vous pour me parler sur un tel ton ?
-Moi ? Todo Katsuya, fils de Todo Ares. Oui le Fifils pourri gaté jusqu'à la moelle qui a décidé de faire un gros caprice sur ce Neko.

Le directeur le regarda bouche bée, il ne pouvait pas se douter qu’un jour il rencontrerait un homme avec un égo au sur-dimensionné et une arrogance digne d’un prince, comme on dit quand le Prince demande, le Prince reçoit dans l’immédiat et pour le moment, le prince voulait un petit Neko sans importance alors qu’il pouvait avoir le Félin le plus cher du borrrr…refuge. Sans ajouter mot il ordonna d’un coup de tête au gardien de reprendre son poste, puis il tourna les talons vers se qu’il semblait être son bureau. Il fit un signe de main à l’argenté lui indiquant de le suivre, celui-ci lança un regard et d’un geste de la tête ordonna au félin de le suivre. Ils traversèrent la salle et entrèrent dans une pièce richement décorée. Le directeur prit place et incita les deux hommes à en faire autant avant de dire :

-On peut dire, Monsieur Todo, que vous ne manquer pas d’arrogance, de Mordant.
-Et encore vous n’’avez vu qu’une partie de mes talents.
-Ah je serais ravi de les découvrir.
-Désoler le tape pas dans les cinquantenaire, puis j’ai la flemme j’aimerais signer les papiers et pouvoir rentrer chez moi avec mon jouet.

Le directeur, outré de l’arrogance plus que présent du jeune homme se leva caressa la cuisse du neko sans le faire exprès bien entendu et parti dans les archives chercher le dossier et les papiers du chaton. D’un pas lourd il revint posa les papiers sur son bureau et les montra a Katsuya qui regarda le carnet de santé avec plus d’intérêt que le dossier en lui-même. Le directeur apposa sa signture sur le contrat de vente et incita Katsuya a faire de même tout en lui caressant la main au passage. L’argenté soupira, signa les papiers, fit le cheque et se leva prenant la « boule de poil » par le bras avant de prendre le chemin du retour il se retourna assigna au Directeur un regard Pervers et lui dit avec le calme le plus surprenant.

-Tenter les poupées gonflables ou encore le gardien, d’après se que j’ai vu il est plutôt bien monté.

Il tourna les talons et prit la chemin de la sortie, passa la porte fit quelque mettre et s’arrêta d’un coup sec pour ramener le Neko à lui et l’embrasser sans douceur.

-Ecoute petit à partir de maintenant tu es ma possession tu feras TOUT ce que je te demande c’est est bien claire ?

Un fois l’idée bien assimilé par le Neko Katsuya repris le chemin de son appartement, son lieux de bonheur.

Ce fut la voix du directeur qui me sortit de la torpeur. Immédiatement je rivais mes yeux sur le sol, comme ma condition le demandait. Le directeur semblait importuné par cette visite plus qu'inattendue :

-"Monsieur, je dois vous avouer ma surprise ! Jamais un de mes employés n’a été dérangé de la sorte dans son travail."
Puis la voix cassante de mon futur maître résonna encore une fois, me redonnant quelques frissons.
-"Si vous insinuait que violer un Neko de 16 ans est un boulot…"

Le directeur contra avec une affirmation que tous savaient faux et les nekos encore présents crièrent d'ailleurs leur indignation. Le gardien les fit taire en frappant dans la grille. Le jeune inconnu qui me voulait parla à nouveau :

-"Si vous le dite, en attendant j’aimerais bien aller à la caisse pour payer la Bestiole et m’en aller de ce…Refuge ? Le plus vite possible."

Le directeur outré, osa lui demander son identité ce à quoi il répondit :

-"Moi ? Todo Katsuya, fils de Todo Ares. Oui le Fifils pourri gaté jusqu'à la moelle qui a décidé de faire un gros caprice sur ce Neko."

Cela scia le vieux responsable qui finit par inviter mon futur maître dans son bureau pour signer les papiers de mon "adoption". Katsuya me fit un signe de tête pour que je le suive, ce que je m'empressai de faire, ne voulant pas me retrouver à nouveau avec le gardien. Je regardai une dernière fois mes compagnons et vit Kazuma, mon meilleur soutien et meilleur ami dans cet enfer, il capta mon regard, me sourit et hurla un "Bonne chance" qui eut plusieurs écho parmi mes autres congénères m'ayant plus qu'aidé. Je suivais donc ce "Todo Katsuya" dans le bureau du directeur que je n'avais jamais vu. Il était richement décoré et jurait avec le reste de l'animalerie qui ressemblait plus à une porcherie à l'abandon qu'autre chose. Les deux interlocuteurs s'assirent alors que je restait debout. Ils discutèrent mais je n'écoutai pas, trop curieux à découvrir tous les immondes de riche que le vieux propriétaire avait entreposé dans son "antre. Il finirent leur dialogue puis le directeur se leva et se dirigea vers moi. Il me caressa la jambe "par inadvertance" et des frissons de dégoût m'hérissèrent les oreilles. Il partit dans une salle annexe d'où il revint quelques minutes plus tard avec un dossier et un contrat d'"adoption". Le jeune homme qui été restait silencieux et immobile se mit en mouvement et signa le fameux document que lui présentait le directeur qui en profita pour lui caresser la main. Geste qui augmenta la répulsion que j'avais pour la pourriture en face de moi. Todo se leva et me pris le bras pour que je le suive. Avant de sortir il lança au directeur :

-"Tentez les poupées gonflables ou encore le gardien, d’après se que j’ai vu il est plutôt bien monté."

Cette dernière pique me fit plus rire intérieurement que les autres. Mon, maintenant je pouvais le dire, maître avait un culot monstre et ne se cachait pas pour dire ce qu'il pensait. Mais je me fis violemment agrippé et deux lèvres vinrent se poser sur les miennes brutalement. La phrase que me lança mon maître me fit revenir à la réalité :

-"Ecoute petit à partir de maintenant tu es ma possession tu feras TOUT ce que je te demande c’est est bien claire ?"

Je hochai de la tête pour approuver la phrase. Il me lâcha le bras et nous sortîmes du refuge. Je découvrais à nouveau l'odeur de l'air de dehors, les babillages de la ville. Cela m'avais manqué. J'humais l'air et cela eu l'air d'amuser Katsuya-sama. Il me montra le chemin et je le suivit docilement. Je découvrais des nouveaux quartiers que je n'avais pas eu la chance de visiter avec mon ancienne maîtresse. Brr, rien que son souvenir me glaçait encore le sang. Je regardai autour de moi avec un petit air enfantin jusqu'à ce que je rencontre le dos de mon maître à force de flâner. L'amusement se lisait dans ses yeux et je m'excusai, confus de mon geste dû à mes flâneries. Il monta dans l'immeuble devant lequel il s'était arrêté et je le suivit, impatient de découvrir mon nouveau "chez-moi"

Ils flânent tout les deux dans les rues, Katsuya regarde le petit neko prendre de grande bouffer d’oxygène, comme si l’air lui avait manqué, qu’il avait été étouffé. Akito, batifole, rêvasse et finit même par entrer en collision avec le dos de son maitre arrêter devant l’immeuble qu’il habite. Katsuya, lui, le regarde amusé par la situation. Il lâche un soupir et finit par reprendre sa marche, intimant, au neko, l’ordre d’arrêter de faire l’imbécile et de le suivre.

Il gravit les marche les une âpres les autres et passe les étages petit à petit pour arriver à l’étage ou vie le jeune homme, mais une ombre se dresse sur le tableau qu’est sensé représenter un pallier désert. Oui une ombre, pour ne pas dire une tache au regard plus qu’envieux et lubrique pointer droit sur l’argenter. Katsuya le regard avec un regard questionneur alors de que l’homme s’avance vers lui :

- Salut beau Katsuya.
- Qu’est ce que tu veux Hiro ?
- Huuuum, j’ai deux bonnes heures avant que ma femme ne rentre à la maison et j’habite à même pas dix minutes à pied.
- Et donc ? Tu veux quoi que je fasse un cadeau à ta femme ? Quoi tu veux peut être lui préparer une petite Sau-te-rie. Perso’ j’aurais plutôt opter pour des sous-vêtement ou un truc dans le genre car bon deux mec dont un qui la touchera pas c’est pas génial comme cadeau
- Non j’aurais plutôt pensé à quelque chose d’un peu plus sportif, mais sans ma femme si tu vois se que je veux dire.
- Hum moui, mais je suis occupé au cas ou tu l’aurais pas remarqué.

D’un geste simple et plutôt dépourvu de toute motivation il pointa le neko derrière lui, puis avança pour et d’une laisser le champ libre à son amant. Ce dernier détailla le neko sous tous les angles pour arriver à une conclusion.

- Dit moi Katsu’ je savais pas que tu les prenais si jeune les nekos. T’es pas un peu vieux pour lui ? Fait gaffe qu’on t’arrête pas pour pédophilie. Au moins tu pourra faire le trou à ta taille.
- Un caprice rien de plus, je cherchais un neko, il ma taper dans l’œil, le vieux voulait pas me le vendre donc j’ai fais un caprice.
- Espèce de putin de gosse de riche.
- Et encore la c’est rien du tout…
- Donc aujourd’hui j’ai droit à rien car t’as une nouvelle bestiole ses ça ?
- Exactement. Faudrait pas le choquer le pauvre petit, donc laisse moi au moins un quart d’heure le temps que je lui fasse visité et je verrais se que je peux faire pour toi. T’as cas aller te mettre à t’es aise dans ma chambre.
- Ok je t’attendrais tout chaud tout beau.
- Hum…Abuse pas sur le plaisir solitaire ça rend sourd.

Hiro était un homme marié d’une trentaine d’années que Katsuya avait rencontré lors d’une soirée il était alors devenu l’amant de celui-ci sans que sa femme le sache, vous imaginé vous la femme d’Hiro apprendre que son mari se fait sodomiser par un homme ?

La dénommé Hiro fit donc la sourde oreille alors qu’un sourire narquois naissait sur les lèvres du jeune maitre. Il se tourna vers Akito et lui indiqua qu’il pouvait entrer, d’un geste sur et possessif il lui attrapa la main et le mena dans presque toute les pièces, lui montrant le salon, la cuisine, la salle dos ainsi que la chambre d’ami qui deviendrait la sienne et finit par lui indiquer qu’un travail l’attendait qu’il pouvait faire se qu’il voulait du moment qu’il ne rentrer pas dans la chambre de son maitre. Il finit par l’embrasser sans prévenir et ouvrit la porte de sa chambre pour la refermer malheureusement très mal.

Il avança vers l’homme qui était allongé sur son lit, nu comme un vers. Retirant tout vêtement gênant il vint surplomber son amant de tout son corps musclé, s’emparant de ses lèvres avec possessivité alors que les mains de ce dernier s’afféraient déjà pour faire grimper la température. Se baladant par ci par là avant de trouver l’objet de leurs désir, Hiro s’en saisit et massa le membre déjà dur du jeune homme, lui demandant de se relevait, se que le jeune homme fit avec aisance, laissant ainsi tout champ libre a son partenaire pour jouer avec son sexe, ce dernier en profita pour le prendre en bouche, le lécher, le masser et ceux avec le plus grand érotisme. Il libera une main pour se préparer lui-même ayant l’habitude avec le feignant d’en face. Le tout en continuant son petit jeu de bouche sous le regard d’un Katsuya au regard pervers et sadique. Il appuya sur sa tête pour intensifier ses mouvements avant de lui jouir une première fois dans la couche, ce qui apparemment ne gênait pas cet amant intempestif.

Après cette petite gâterie l’homme prit l’initiative de se positionner à quatre pattes devant son fantasme, fantasme que ne l’entendit pas de cet oreille et enfonça sans cris et garde trois doit dans l’entre d’Hiro se dernier en sursauta de plaisir, mais ne dit rien gémissant légèrement au doigtage pervers que lui affligeait le plus jeune. Mais un plus gros calibre prit très vite la place des doigts allant au fond d’un coup sec et précis, non Katsuya ne faisait généralement pas dans la finesse. Katsuya entama alors des série de déhancher plus au moins violant et rapide faisant crier de bonheur son ainé qui avait plutôt l’air de vraiment prendre son pied. Il intensifia même les déhanchés enfonçant ses coups de boutoirs le plus profond possible au moment ou il finit par toucher la prostate de son amant le faisant monté au septième ciel comme on dit. Il continua comme ça pendant plusieurs minutes avant de déverser dans les fesses de son amant le faisant éjaculer par la même occasion. il sortit de l’antre ou il se trouver claqua les fesse d’Hiro avant de prendre son boxer pour sortir de sa chambre.

-Aller va rejoindre ta femme.

Hiro se massa un peu avant de se rhabiller pour se rendre dans le salon une clope à la bouche il s’assit sur le canapé histoire de se remettre les idées en place. Katsuya lui entra dans la cabine de douche et fit couler l’eau, prit le gèle douche et commença à se savonner se nettoyer de coin en recoin de façon plus ou moins maniaque. Hiro se calla confortablement à coté du neko et tira une latte avant de dire d’un ton pervers.

-Tu le connais pas encore, mais ton maitre est un vrais pervers, un accro, une vrais pute, ouai c’est ça une pute je pourrais le payer pour coucher avec lui tellement il baise bien.

Sur ses mots Hiro crachat sa latte de fumer en pleine figure du jeune neko…

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