Une séance shopping s'impose... { Pv : Chocolat ♥ }

___Main dans la main nous sortîmes enfin de cet enfer. L’animalerie ne serait bientôt qu’un très mauvais souvenir qu’il faudrait laisser derrière nous. Nous nous en éloignions, des cris suppliants ou des jurons accompagnant nos pas jusqu'à ce que le bruit de la rue les éteignent. La foule s’était un peu dissipée, quoi qu’encore massive, pour l’heure du repas humain. Des senteurs et fumets variés, agréables et étonnants, sortaient des snacks et restaurants qui jonchaient la rue. Le soleil réchauffait l’atmosphère, c’était une bien belle journée en effet…
___Mon esprit vagabonda de part et d’autre, oubliant la présence à mes cotés. J’avais tellement l’habitude de la solitude, de cette foule parmi laquelle j’étais transparente, que je ne faisais plus attention à Chocolat. Mes troubles obsessionnels me firent revenir néanmoins à la réalité : Je tripotais sans cesse ce qui me passait sous la main, le regard vide toujours rivé sur les carreaux du trottoir rocailleux. Je tripotais quelque chose… non pas ma robe… c’était dur et froid… Un frisson parcourut tout mon corps malgré la chaleur. La chaine !... Chocolat ! Je me retournai alors instinctivement vers elle, et ralentissais pour l’observer. Elle était toute guillerette, émerveillée d’un rien, toute naïve et joyeuse. La néko se mit à jouer avec sa queue, après une attentive observation des lieux, du monde, qu’elle semblait découvrir pour la première fois. Une certaine mélancolie envahit mon esprit, sans que je ne m’explique la raison et posa de nouveau mon regard sur le sol. Un sourire léger et pâle se dessina sur mon visage, dans l’ombre de ma casquette, bien enfoncée sur ma tête.
*…Cette joie naïve… dit moi… Quel gout ça a ?*
___Le brouillard de mes songes se dissipa à vive allure. Le froid cadavérique qui commençait à envahir mon corps fut lui aussi stoppé… Une étreinte chaleureuse et passionnée m’avait immobilisée sur place. Chocolat se frottait à moi tel un jeune chat en quête de caresses, ce qui me décontenança quelque peu… D’après ce que j’avais pu voir d’elle depuis nos retrouvailles, je n’avais pas à m’étonner mais… Disons simplement qu’elle m’attendrissait. Une de mes mains rencontra le sommet de sa tête, entre ses craquantes oreilles et glissa le long de ses cheveux sucrés. Je fermais les yeux savourant ce doux rêve qu’il m’était donné de vivre, jamais je n’aurais crû me retrouver aujourd’hui en compagnie de ma sœur. Mais soudain, je fus contrainte de les rouvrir ; elle m’avait lâchée, d’une douceur lente qui m’étonna, et s’adressa à moi d’une voix inquiète mais tout aussi fondante qu’elle.
« Nya… Nee-chan ? Nee-chan Vanella, où est ce qu’on va maintenant ? Tu me veux encore à tes cotés ou je vais devoir suivre mon chemin ? »
Je me mordis la lèvre inférieure, repensant à autrefois, quand nos chemins s’étaient réellement séparés. Je ne pourrais jamais me résoudre à me séparer d’elle encore une fois, non, elle ne pouvait pas penser une telle chose… Je… Je lui interdirais. Je ne savais pourquoi je m’y attachais ainsi, moi à qui l’hypocrisie était constante et la méfiance ma façon de vivre ; le goût de rien, l’attente d’un futur vide, l’attente d’une mort ? Non… Au fond tout ce que j’espérais c’était revoir cette personne qui hantait mon esprit, cette personne ou plutôt néko à laquelle j’étais profondément liée. L’idée même de mourir sans la revoir écartait chaque jour la blessure sanguinolente de mon cœur, sentant en moi un poignard remuer la plaie avec un plaisir sadique. Mais maintenant… Maintenant ! Elle était mienne. Oui cette pensée était profondément égoïste, mais… Elle était à moi, elle ne partirait plus. Je tirai un coup ferme sur la chaine, l’attirant dans mes bras et attrapa son menton pour faire chavirer sa tête sur ma gauche. Je m’approchais alors furtivement de son oreille droite pour lui murmurer ses quelques mots.
« Crois-tu vraiment que je te laisserais partir… ? Nee chan… Tu es tellement naïve… Ne change pas, pour rien au monde. »
Je la lâchais à l’instant, agrippant la chaine avec force, sans pour autant tirer, juste la sentir bien réelle entre mes mains. Elle ne m’échapperait plus.
Mon regard ombragé parcourra les divers magasins de la rue. Je me retournais vers ma malheureuse prisonnière en la considérant tristement du regard.
« Que dirais-tu de te faire une petite garde-robe… Il me reste encore assez d’argent, donc… Fais-toi plaisir. C’est pas tous les jours shopping. »
Ma voix n’était pas très tendre, il faut l’avouer. Mais je ne pouvais me permettre une faille en publique. Je la décoiffai d’un geste vif avant de me poster à ses cotés, prête à la suivre dans ses choix vestimentaires. Elle était surement moins compliquée à séduire que moi sur ce point-là…enfin… restait encore à le prouver.

__Chocolat fut surprise de la réaction de sa sœur. Après un moment de silence, sans aucun geste, sa sœur pensive qui se mordait la lèvre, Chocolat senti quelque chose la tirer vers la néko couleur Vanille. La laisse, c’était bien la laisse que Vanella avait brusquement tiré vers elle-même. Puis avec quelques mouvements rapides celle-ci l’attrapa par le menton et lui bougea la tête vers la gauche. Le cœur de Chocolat se mit à battre plus fort, elle se demandé si elle avait fait quelque chose de mal, si ses paroles avaient blessé sa sœur, tout cela mélangé au fait d’être si proche d’elle, si proche de la personne qui comptait le plus pour elle. Puis sa sœur inclina doucement sa tête en se rapprochant de l’oreille droite de sa sœur, comme pour lui raconter un secret. Chocolat ne s’attendait pas, mais alors là pas du tout à la réponse de sa sœur, ce qui ne fit qu’augmenté le stress qu’elle avait déjà. Ces paroles à la fois sèche mais tendre lui résonnaient dans la tête pendant quelque seconde.
__« Crois-tu vraiment que je te laisserais partir… ? Nee chan… Tu es tellement naïve… Ne change pas, pour rien au monde. »
__Un sourire s’ébaucha sur les lèvres de Chocolat, tandis que sa sœur la lâchait à l’instant. Chocolat paraissait bien contente soudainement, elle appartenait désormais à sa sœur et celle-ci ne comptais apparemment pas la « partager » avec qui que se soit. Puis, alors que ces mots parcouraient encore dans la tête de la naïve néko, une autre phrase lui attira l’attention.
__« Que dirais-tu de te faire une petite garde-robe… Il me reste encore assez d’argent, donc… Fais-toi plaisir. C’est pas tous les jours shopping. »
Un sourire apparut sur son visage à nouveau, elle observa un moment sa robe toute poussiéreuse et trouée, et regarda les quelques vitrines que se dressaient devant elles. Sa sœur lui décoiffa ses cheveux avec un geste vif, ce qui semblait plaire à la jeune néko couleur chocolat. Elle regarda sa sœur à nouveau pour lui donner une réponse.
__- C’est vrai ? tu veux bien m’acheter quelques habits ? Arigato Nee chan Vanella.
__Puis avec un geste assez bref, elle déposa un autre baiser sur la joue froide de sa sœur. Elle avait vraiment très envie de changer cette robe toute sale qu’elle portait et qui sentait encore la cage dans laquelle elle avait été enfermée. Puis elle observa à nouveau les vitrines des magasins pour, enfin, avec sa main droite pointée une boutique assez simple de vêtements. Avec sa main gauche elle attrapa une main de sa sœur pour l’entrainer devant la vitrine et lui montrer une belle robe bleue ciel et bleue foncé. Elle n’était pas trop pompeuse, ni acharnée sur les décors. Une robe à bretelles, bleu ciel à l’intérieur et bordé d’un bleu plus foncée à l’extérieur, attaché à la robe par de jolis nœuds de la même couleur que l’extérieur de ceux-ci. Elle était courte, avec un premier volant bleu foncé, puis un second qui était par-dessus plus clair avec deux rayures situées en bas du tissu et garnis de fleurs assez simples au-dessus. Un gros nœud bleu foncé se trouvait derrière, et un petit col à rayures, toujours de la même couleur que la robe, attaché au niveau du cou pour faire comme un collier. Pour complément un bracelet similaire au col de la robe et un nœud rayé pour accrocher aux cheveux. Voila la robe qui avait attirait l’attention de la jeune néko. Avec une voix un peu timide et maladroite Chocolat réussit à prononcer quelques mots.
__- Elle est belle cette robe, tu ne trouve pas Nee-chan ?
__Elle n’osait pas demander à sa sœur de la lui acheter, bien que cela puisse paraitre stupide étant donner la situation. Mais Chocolat était comme ça, elle ne pouvait pas demander à quelqu’un de lui acheter quelque chose, elle se sentait tout de suite gênée et trouvait cela un peu égoïste de sa part. Elle prenait en compte que sa sœur avait déjà payé une grande somme pour la sauvait de cette animalerie infernale, et ne voulais pas qu’elle subisse tout ses caprices. Elle dirigea son regard vers la robe, puis vers sa sœur, et enfin il alla se fixer à ses pieds. Son ton pâle se changea en une couleur rose très pâle.
__*Ressaisie toi Chocolat, c’est quand même ta sœur… Elle t’a proposé de t’acheter des habits, alors n’est pas honte… ce n’est pas égoïste ?*
__Puis elle releva sa tête pour fixer les yeux de sa sœur, et avec un regard tendre et une voix douce elle prononça, avec un peu de mal la phrase suivante :
__- Nee chan tu es sure que sa ne te dérange pas de me l’acheter ? tu as déjà gaspillé des sous pour me faire sortir de l’animalerie, je ne veux pas être un fardeau…
__Puis elle resta dans la même position, toujours en fixant les yeux bleutés de sa sœur. Avec ce regard d’enfant sage, comme une petite créature angélique qui ne veut faire du mal, ni causer des soucis à personne.

___La réaction de Chocolat me faisait chaud au cœur, elle avait l’air tellement heureuse avec cet éblouissant sourire sur le visage. Elle avait commencé à regarder les opportunités qu’elle pourrait trouver en vitrine avant de se tourner vers moi. Ma petite caresse ne semblait pas lui déplaire non plus, au contraire… Sa joie eut le don de me décocher un petit sourire.
« C’est vrai ? Tu veux bien m’acheter quelques habits ? Arigato Nee chan Vanella »
Sa voix était claire et joyeuse, annonçant tout de suite sa réaction positive à la proposition que je lui avais faite. Elle était une vrai pile ambulante après mure réflexion… mais une boule de poil pleine de bonne humeur, oui. J’eus un sourire tendre à son égard. Elle était tellement mignonne dans ses faits et gestes, ça faisait longtemps que je n’avais pas vu quelqu’un d’aussi pure, agissant à l’instant, selon sa manière de penser, sans aucune hypocrisie.
« Ne me remercie pas voyons… »
Elle entreprit une observation plus minutieuse que précédemment. Je la contemplais, l’air sereine, sans penser vraiment à ce qui nous entourait, bien qu’un peu sur mes gardes. Elle pointa alors un doigt vers une boutique qui semblait être à son goût, et m’attrapa la main pour m’y conduire, toujours aussi souriante. Je me laissai alors entrainer, la surveillant furtivement du regard, sans trop l’élever, de manière à se qu’aucun humain ne voit précisément mes yeux. Elle me montra une splendide robe aux tons bleus. Je la détaillais lentement du regard, de haut en bas, jusqu’à atteindre… le prix.
« Elle est belle cette robe, tu ne trouve pas Nee-chan ?»
D’un geste machinal je posais ma main sur sa tête, lui adressant un léger sourire. Je calculais, de même, l’argent qu’il nous resterait pour faire le plein de provisions. Nous devrions, ou du moins je devrais, retourner à la ville plus tôt que prévu… Mais peu importait, le sacrifice en valait bien la chandelle : Ma sœur était libre et à mes cotés.
« Oui, très belle. »
Ce magnifique vêtement n’était pas si cher comparé à sa beauté, mais il est vrai que l’adoption de ma sœur avait été coûteuse. Je ne tenais pas non plus à ce qu’elle se retrouve sans vêtements… Bien entendu, je lui en prêterais aussi d’autres une fois arrivées chez nous, mais ça me fendrais le cœur de devoir la lui refuser. Pendant que je songeais ainsi aux problèmes de dépenses, la petite neko chocolatée vint se poster devant moi, un air gêné inscrit sur son visage prenant des teintes roses.
« Nee chan tu es sure que sa ne te dérange pas de me l’acheter ? Tu as déjà gaspillé des sous pour me faire sortir de l’animalerie, je ne veux pas être un fardeau… »
Je la fixais un instant dans ses yeux caramels, sans tout de suite réagir. Je finis par pousser un soupir de soulagement, semblait-il, m’apprêtant à répondre. Je voulus prendre une voix plus douce, bien que toujours suffisamment neutre pour paraitre un duo maître/neko convenable…
« Pas de chichis entre nous Chocolat. Puis d’ailleurs… Si tu es encore à cotés de moi à cet instant, crois moi, c’est que je le veux bien. Il n’y a pas de fardeau qui puisse cohabiter avec moi. »
Finalement j’avais optée en cours de route pour une voix légère sur le ton plutôt de la plaisanterie… Histoire de la mettre plus à l’aise. Sans en dire plus je la priais d’un geste simple de m’attendre devant la vitrine, pendant que je faisais l’achat en question. Un dilemme me vînt soudain à l’esprit… Quelle taille devais-je lui prendre ? Je la scrutais quelques instants à travers la vitre de la vitrine, en déduisant finalement qu’on devait être à peu près pareil. Une vendeuse était venue, serviable, prendre en compte ma demande. Nous nous dirigeâmes vers la caisse après avoir pris possession de l’article et je payais comme il se devait ce beau présent. La commerçante le plia soigneusement pour le déposer dans une poche en papier cartonné au nom du magasin, assez simple, au logo bleu ciel et marron. J’étais satisfaite, mon visage devait sans doute le dire pour moi. C’est ainsi que je revins à pas de velours auprès de ma petite furie. J’avais dans l’intention de la surprendre en sortant sans qu’elle ne sans rende compte, pour lui tendre son cadeau avec un très enthousiaste et peu recherché.
« Tadaaah ! Pour toi. »

__« Pas de chichis entre nous Chocolat. Puis d’ailleurs… Si tu es encore à cotés de moi à cet instant, crois moi, c’est que je le veux bien. Il n’y a pas de fardeau qui puisse cohabiter avec moi. »
__Voila ce que sa sœur sur un ton de plaisanterie répondit à cette petite Chocolat inquiète. Elle se sentit à nouveau heureuse d’être là, là devant ce magasin, avec sa sœur qui apparemment était du même avis de qu’elle sur leur retrouvaille. Puis Chocolat attendis, comme sa sœur lui avait indiqué avec un geste de sa main, devant le magasin. Elle d’assis un moment sur le rebord de la vitrine, et se mit à nouveau à regarder les passants et leurs discussions. Cependant elle était en garde, les oreilles baissées. Elle savait que quelque chose de mal pouvait arriver et être séparée de sa sœur était la dernière chose qu’elle voulait. Puis elle commença petit à petit à s’endormir malgré elle. Oui elle s’était levée assez tôt le matin, comme chaque jour dans cette animalerie, et toutes les heures de sommeil qui lui manquées lui donnaient soudainement une grande fatigue. Finalement, pendant quelque minutes elle s’endormie. Dans sa tête une scène refit surface. Le jour où sa sœur avait disparu, le jour où on l’avait séparée de l’être le plus cher qu’elle possédait sur terre. Quelques larmes coulèrent sur ses joues, des larmes de tristesse. Pendant quelques secondes, elle était revenue en arrière, elle était à nouveau seule. Puis un bruit la réveilla en sursaut.
__« Tadaaah ! Pour toi. »
__C’était sa sœur avec sa belle robe bleuté tant désirée il y a un instant. La Jeune néko eut une réaction inattendue, elle se mit à sangloter. La fatigue surement, ce rêve, ce retour en arrière, la pensée de perdre sa sœur encore. Vous pouvez surement qualifier Chocolat d’une gamine qui ne sait que pleurer, d’une gamine qui aurait peur de tout, mais dans ce cas vous ne comprendrait pas l’amour qu’elle ressent envers sa sœur. Oui certes, Chocolat pleurait, mais par amour et elle savait bien que cet amour pour sa sœur la ferait encore souffrir, parce que c’était inévitable. Mais c’est aussi grâce à l’amour qu’elle avait pour sa sœur que sa vie aurait un sens. Puis se frottant ses yeux comme une enfant, et avec quelques mots à peine audibles elle prononça :
__- Arigatow Vanella-nee… Je ne veux pas te perdre, désolé...
__Elle regarda sa sœur, qui était étonné de la voir pleurer. Chocolat voulu s’accrochait à nouveau à sa sœur mais un autre événement surgi à l’imprévu. Quelque chose qui allait changer le thème de conversation et bien d’autres choses. Un passant, qui ne semblait pas vraiment aimer les nékos, interpella Vanella, car il avait aperçut qu’elle tenait la laisse de sa sœur et donc crut que celle-ci en était le maître, mais un maître humain comme la plus part.
__« Bonjours Mademoiselle, je suppose. Votre néko est un peu bruyante alors veuillez bien la faire taire avant que j’appelle la police. Les clients n’osent plus rentrer dans ma boutique. »
__Chocolat se tut tout de suite. Elle baissa le regard en se mordant les lèvres. Quelques autres larmes tombèrent sur le ciment du trottoir. Pendant ce temps Vanella semblait vraiment en colère mais avant que celle-ci puisse reprocher quoi que se soit, ce passant qui avait surement une grande estime de lui-même, pris Chocolat par son collier, la leva et la secoua brusquement en lui criant :
__« Mooh arrête de pleurer, petite merde de néko, tu fais fuir ma clientèle »
__L’humain lâcha, avec violence la néko couleur chocolat, se qui la fit atterrit sur le sol. Elle resta assisse un moment, les yeux toujours rivés sur le sol. Puis cette ignoble créature sans sentiments, oui créature car il ne méritait pas d’être appelé humain, commença à rire comme s’il était le roi du monde. Mais Chocolat, se releva, puis d’un coup de main, lui griffa sur la figure. Ce qui provoqua une réaction négative sur cet homme qui commença à hurler, attirant l’attention des autres humains et leurs nékos.
__« Au secours !!! On vient de m’attaquer !! Une sale néko vient de m’attaquer !! »
__C’est alors que Chocolat compris la gravité de cette situation. Impuissante face à cette foule de gens qui s’approchait lentement pour voir le « spectacle » que cet homme offrait, elle regarda sa sœur Vanella. Elle attendait une réaction de sa part pour partir de cet endroit et fuir cette situation assez délicate dans laquelle elles se trouvaient.